LES BALADINS INTERPRETENT
"LA VIE DE CHANTIER "
DE DANY BOON

Le rideau de velours s'ouvre sur la pièce principale d'un petit hôtel particulier délabré, dans la banlieue chic de Paris. Tout est en travaux... C'est dans un décor "apocalypse" que Charles Boulin "l'heureux propriétaire" s'apprête à accueillir sa femme et sa fille. Pour une surprise, cela va être une surprise.

Situations poussées à l'extrême, quiproquos, je m'en foutisme, arnaques... rythment cette comédie et font de ce rêve un véritable cauchemar. Vous avez là un cocktail explosif qui a pour seul but de déclencher le rire du public. L'intrigue se résume aux aléas que chacun peut rencontrer lors de travaux ou de rénovation. Ceux qui ont connu les déboires d'un chantier se reconnaîtront forcément dans cette pièce. Les autres sont prévenus.

La comédie de Dany Boon pourrait se résumer à une des répliques : "Déménager, ça vous pourrez... c'est emménager qui sera plus difficile".